L’assurance temporaire : la solution pour une utilisation de courte durée

Par la rédaction

L’assurance temporaire s’adapte à toutes les situations

De nombreuses situations de déplacement en automobile impliquent l’utilisation d’un véhicule dont on n’est pas propriétaire. Ainsi la location ou l’emprunt d’une voiture, le covoiturage ou encore l’autopartage. Dans tous ces cas, l’utilisateur de l’automobile, conducteur ou simple passager n’est pas toujours aussi bien couvert par l’assurance de base, et parfois même il peut ne pas être couvert, notamment si seule une protection minimale légale a été souscrite. C’est pourquoi des produits assurantiels innovants ont vu le jour, qui permettent une protection à la carte en fonction des réels besoins, et ce pour un coût compétitif.

Comme le rappelle le site assurancetemporaire.org, l’assurance temporaire permet donc de se couvrir pour des durées comprises entre 1 et 90 jours. Certaines restrictions existent pour les souscripteurs, en particulier des conditions d’âge et de délivrance du permis de conduire. La plupart des assureurs exigent 2 ans de détention et un âge minimal de 20 ou 21 ans.

L’assurance temporaire dans le cas d’un véhicule peu utilisé

Dans le cas d’un véhicule remisé qui n’est utilisé qu’exceptionnellement, une assurance à l’année peut s’avérer inutilement couteuse. La voiture doit être habituellement dans un local fermé, et non susceptible d’être utilisée, en s’assurant physiquement d’une impossibilité de conduite et de sinistre (batterie démontée, carburant retiré, et véhicule sur cale). Un contrat d’assurance dit « hors circulation » peut être judicieux dans ce cas.

L’avantage d’une assurance temporaire pas chère (cliquez ici pour un exemple) peut alors trouver toute sa pertinence en cas de besoin quelques jours par an du véhicule. En cas d’urgence, c’est la meilleure solution. Il est bon de prévoir une telle situation et de préparer les documents souscrire rapidement l’assurance temporaire : en premier lieu, le relevé d’information qui constitue un document légal accompagnant le conducteur tout au long de sa vie d’assuré. Il comporte le profil du souscripteur, son passé en tant que conducteur, notamment les sinistres, ainsi que les détails de son contrat d’assurance. Ensuite, une copie du permis de conduire en cours de validité. Enfin une copie de la carte grise du véhicule. Même s’il n’est pas au nom de l’assuré ou qu’il a été délivré à l’étranger, le document est valable, car il est attaché au véhicule. En somme tous les documents permettant de circuler en France. À noter, car le véhicule immobilisé concerne souvent les personnes âgées : certaines compagnies pratiquent aussi une limite d’âge maximale, et refusent une assurance temporaire à un automobiliste de plus de 70 ans.

L’assurance temporaire pour l’utilisation d’un véhicule à l’étranger

Les contrats d’assurance temporaires dépassant 3 jours de validité permettent au conducteur de circuler à l’étranger. Cette solution est très prisée si un voyage est prévu dans un pays non couvert par l’assurance actuelle de l’automobiliste. À l’inverse, il en va de même pour les conducteurs étrangers non assurés en France qui devront pour leur séjour souscrire un contrat temporaire pour circuler en France.

Pour le déplacement à l’étranger, certaines options peuvent s’avérer utiles : garantie assistance et dépannage hors du territoire national, garanties dommages et garantie corporelle du conducteur.